Ventes Privées

11 novembre 2015

Little Marcel - Showroomprivé


La marque est toujours aussi plébiscitée par les lycéennes et leurs mères. Il faut dire que la marque est immédiatement reconnaissable (lire le commentaire ci dessous). Les rayures commencent à lasser c'est pourquoi la marque tente de nouveaux graphismes. D'un site à l'autre les prix varient très peu (1€ ou 2€ seulement). La vente de Showroomprivé comporte de nombreux inédits (en ventes événementielles) notamment dans la rubrique maroquinerie.   




Merci pour le commentaire ci dessous laissé par un lecteur anonyme. L'article du Midi Libre est très instructif. La crise de croissance qui frappe cette entreprise d'Aigues Mortes, est due aussi à la lassitude des consommatrices, après 10 ans de rayures, il est temps d'évoluer. 

Les mauvaises nouvelles s'accumulent ce matin Europe 1 annonce le licenciement de 80 personnes soit les 2/3 de la masse salariale.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Little marcel est en redressement judiciaire depuis juillet 2015
http://www.midilibre.fr/2015/09/04/little-marcel-touche-pas-coule,1208746.php


La guerre des rayures “multico”

Entre Little Marcel et Sonia Rykiel ce n’est pas le grand amour. Le nœud de la discorde ? L’usage des rayures sur fond noir qui est la signature de l’une comme de l’autre des deux marques. Un premier jugement du tribunal de commerce de Paris, du 30 septembre 2011, a d’ailleurs condamné KLS (la société exploitant la marque Little Marcel) à verser 250 000 € à la société Sonia Rykiel. Pour autant, cette dernière a, de nouveau, assigné la société aigues-mortaise après avoir constaté qu’elle continuait "à piloter des actes de concurrence déloyale et de parasitisme" en poursuivant l’utilisation ces fameuses rayures multicolores.

Un nouveau jugement du tribunal de commerce de Paris, rendu le 22 mai 2012, est venu condamner KLS à verser, cette fois, 300 000 €. Pour autant, face à ces décisions, la société KLS n’a pas lâché l’affaire et a décidé de faire appel. Mal lui en a pris puisque la cour d’appel a confirmé les jugements de première instance. Et ce, malgré le fait que ni Sonia Rykiel ni Little Marcel n’aient breveté les fameuses rayures... C’est sans doute ce qui explique pourquoi la marque parisienne ne se soit pas placée sur le terrain de la contrefaçon.