Burberry se refuse toujours à valoriser ses invendus sur les marchés parallèles pour ne pas déprécier sa marque à haute valeur ajoutée. Du coup elle préfère détruire les collections qui ne trouvent pas preneurs. Elle s'est fait épinglée par la presse britannique pour avoir détruit par incinération 31 millions d'euros de marchandise l'année dernière (50% des collections). Sur cinq ans cela représente plus de 100 millions d'euros et cela ne concerne pas seulement le textile mais aussi les cosmétiques. Devant l'accroissement de ses ventes au niveau mondial, la marque a du produire beaucoup plus sans pour autant prévoir ce qu'elle pourrait écouler.
La production de vêtement est déjà l'une des plus polluantes au monde. Alors quand des produits de luxe, souvent très chers, servent de combustibles c'est d'autant plus incompréhensible pour le consommateur.
Zalando Privé a pu dénicher quelques pièces emblématiques de la marque comme les trenchs.
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