Le secteur de la parfumerie subit une véritable désaffection. En l'espace de quelques années il a perdu près de 2.5 millions de clients. En dix ans les ventes ont reculé de -16%. La faute à une trop grande uniformisation des fragrances...les fruités/sucrés dominent le marché et sont trop similaires d'une marque à l'autre.
Mais ce recul tient aussi à la hausse des tarifs de 30%, au changement des formules chimiques, à une baisse de qualité des jus (qui ne tiennent pas plus de 5 mn en olfaction) et des ventes en masse pour les plus grands noms comme pour Trésor de Lancôme.
Sans compter que 10 marques seulement trustent 65% des ventes...Beaucoup de consommatrices ne supportent plus de sentir LEUR parfum sur d'autres. Et les innombrables promotion n'y font rien.
Mais ce recul tient aussi à la hausse des tarifs de 30%, au changement des formules chimiques, à une baisse de qualité des jus (qui ne tiennent pas plus de 5 mn en olfaction) et des ventes en masse pour les plus grands noms comme pour Trésor de Lancôme.
Sans compter que 10 marques seulement trustent 65% des ventes...Beaucoup de consommatrices ne supportent plus de sentir LEUR parfum sur d'autres. Et les innombrables promotion n'y font rien.
Ces dernières années on assiste aussi à une multiplication des marques et des lancements...Les marques ont tenté d'introduire le concept de saisonnalité avec les parfums d'été. Difficile cependant de percer dans un marché hyper concurrentiel ou la force de frappe marketing est essentielle. De nombreuses marques, en manque de notoriété, se retrouvent en promotion ou en ventes privées....le spécialiste du secteur est l'incontournable Beauté Privée.
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